NOTES
Guizot (ouvrage cité, p. LXVI) traduit ainsi le « singulier jugement » de Samuel Johnson, éditeur des oeuvres de Shakespeare (1765): « Que la tragédie de Shakspeare paraît être le fruit de l'art, et sa comédie celui de l'instinct. »
Le même jugement est attribué, par ajouts au texte initial, à un Forbes que nous croyons un personnage de fiction -voir la note à « dit Jonathan Forbes » au chapitre suivant.